EAC, collège St Joseph
Classe de 4ème "Marjane Satrapi"
Atelier théâtre et art plastique
Intervenantes : Julie Lucazeau et Mathilde Tufféry
12h d'interventions
Le but de cet atelier été de travailler sur le rapport homme/femme dans la société.
L’objectif était de dresser un constat des stéréotypes, des relations entre chacun, des conflits, pour ensuite au travers de divers ateliers, travailler à la déconstruction des stéréotypes, les clichés, d’identité sociale, la norme, le genre, l’égalité pour se les réapproprier et libérer l’expression de chacun. La fresque a été réalisée par le biais de transfert d’image, de collage, de bombes de peinture. Pour rester dans l’idée d’égalité, nous avons choisi la couleur violette qui n’est autre que la somme du bleu et du rose. Les demi-cercles, la flèche et la croix représente les sigles homme/femme éclatés. Nous avons sélectionné la figure de Marjane tiré de la BD Persepolis en lien avec le nom de la classe. Ainsi que Billy Elliot, pour l’image de tolérance qu’il véhicule et d’indulgence sur les stéréotypes. Mohammed Ali, ici est revêtu d’un peignoir doté de princesse à l’allure proche de la réalité. Frida Khalo, est représenté en costard, figure Mexicaine de l’émancipation des femmes, et de son insurgement contre les inégalité homme/femme. Enfin, une citation du discours d’Emma Watson pour sa campagne de solidarité pour l’égalité des sexes, He for she, qui visait à faire participer les hommes et les garçonsdans le combat pour l’égalité des sexes et les droits des femmes. Le projet aboutit lors d’une restitution collective le jeudi 16 mars. Il s’agissait d’une improvisation théâtrale reprenant des textes de
Grand Corps Malade, Emma Watson ou encore Barbara Parvis, jouée sur la scénographie imaginée et réalisée en amont avec les élèves.
L’objectif était de dresser un constat des stéréotypes, des relations entre chacun, des conflits, pour ensuite au travers de divers ateliers, travailler à la déconstruction des stéréotypes, les clichés, d’identité sociale, la norme, le genre, l’égalité pour se les réapproprier et libérer l’expression de chacun. La fresque a été réalisée par le biais de transfert d’image, de collage, de bombes de peinture. Pour rester dans l’idée d’égalité, nous avons choisi la couleur violette qui n’est autre que la somme du bleu et du rose. Les demi-cercles, la flèche et la croix représente les sigles homme/femme éclatés. Nous avons sélectionné la figure de Marjane tiré de la BD Persepolis en lien avec le nom de la classe. Ainsi que Billy Elliot, pour l’image de tolérance qu’il véhicule et d’indulgence sur les stéréotypes. Mohammed Ali, ici est revêtu d’un peignoir doté de princesse à l’allure proche de la réalité. Frida Khalo, est représenté en costard, figure Mexicaine de l’émancipation des femmes, et de son insurgement contre les inégalité homme/femme. Enfin, une citation du discours d’Emma Watson pour sa campagne de solidarité pour l’égalité des sexes, He for she, qui visait à faire participer les hommes et les garçonsdans le combat pour l’égalité des sexes et les droits des femmes. Le projet aboutit lors d’une restitution collective le jeudi 16 mars. Il s’agissait d’une improvisation théâtrale reprenant des textes de
Grand Corps Malade, Emma Watson ou encore Barbara Parvis, jouée sur la scénographie imaginée et réalisée en amont avec les élèves.
SESSAD Valbrise
Atelier théâtre / art plastique
Intervenantes : Véronique Bisciglia et Mathilde Tufféry
12 ateliers de 1h30
L’idée de ces ateliers est d’ancrer le public dans le moment présent, de leur ramener une pleine conscience. Possiblement submergé par des souvenirs, ou dissocier de l’instant, il ne connecte plus avec leur environnement. Le but est de
les aider à se recentrer sur le présent, en utilisant des données sensorielles. Il y a plusieurs moyens pour cela, il est possible de passer par le sensoriel ou le cognitif. Nous essayons de mobiliser quelque chose de très réel : l’histoire de chacun.e, l’histoire d’un souvenir. Un souvenir nous dévoile une partie d’une vie, d’une personne, d’une culture. Nous sommes inspirées des stratagèmes liés au monde du rêve et de l’imaginaire. Pour la manifestation d’une mémoire, nous stimulons les sens, les voyages et les échanges. Imaginer pour mieux se souvenir, partager sa réalité pour faire rêver les autres. Les séances à venir associerons le travaille d’art dramatique, de l’expression orale en échauffement pour passer au travail d’art plastique, de la mise en volume et espace. Et finissons par le debriefing sur les sensations, émotions ressenties et difficultés perçues.
les aider à se recentrer sur le présent, en utilisant des données sensorielles. Il y a plusieurs moyens pour cela, il est possible de passer par le sensoriel ou le cognitif. Nous essayons de mobiliser quelque chose de très réel : l’histoire de chacun.e, l’histoire d’un souvenir. Un souvenir nous dévoile une partie d’une vie, d’une personne, d’une culture. Nous sommes inspirées des stratagèmes liés au monde du rêve et de l’imaginaire. Pour la manifestation d’une mémoire, nous stimulons les sens, les voyages et les échanges. Imaginer pour mieux se souvenir, partager sa réalité pour faire rêver les autres. Les séances à venir associerons le travaille d’art dramatique, de l’expression orale en échauffement pour passer au travail d’art plastique, de la mise en volume et espace. Et finissons par le debriefing sur les sensations, émotions ressenties et difficultés perçues.